Informations techniques
Cette page est pour ceux qui se demandent comment ce site fonctionne…
Tout d’abord, je suis assez calé en informatique, et j’aurais pu créer ce site de toute pièces, comme je l’avais fait pour celui qui relate mes aventures au Pérou en 2006, mais cette fois-ci, j’ai décidé de prendre la voie la plus facile et utiliser le logiciel WordPress que j’héberge chez-moi.
Tout d’abord, l’hébergement. Ce site web fait partie d’un petit réseau virtuel. Il est virtuel, parce que tous les ordinateurs qui en font partie n’existent que dans des machines virtuelles tournant sous VMWare. La machine hôte est un ordinateur Pentium 4 à double coeur tournant à 3 Ghz, 4 Go de mémoire vive et pour l’instant deux disques de 80 Go et 500 Go. Le système d’exploitation est Ubuntu Linux, version serveur.
Je n’ai jamais possédé de routeur internet du type Linksys ou D-Link. J’ai toujours eu un routeur/passerelle utilisant Linux. La dernière mouture que j’utilise est une machine virtuelle roulant Ubuntu Linux, version serveur.
L’hébergement proprement dit est fait par une autre machine Linux Ubuntu virtuelle, version serveur. Ce serveur virtuel héberge aussi mon courrier.
Au moment d’écrire ces lignes, le site web était propulsé par WordPress 2.8.4, version française. La base de donnée était MySql 5.0. Le serveur web, Apache 2.2.8. Le même serveur web héberge aussi d’autres domaines.
Pour livrer le contenu du site de la façon que je le désire, j’ai du installer quelques plugins à WordPress.
- AStickyPostOrderER : me permet d’arranger les pages dans l’ordre que je le désire. Sans ce plugin, WordPress décide de l’ordre de mes pages, ce qui est un tantinet chiant.
- Shadowbox JS : Tout-à-fait génial. Ce qui permet les diaporamas.
- TinyMCE Entities Patch : Celui-ci me permet de garder les espaces insécables dans mes articles. WordPress ne faisait que les enlever, ce qui avait pour effet de couper des expressions telles que : 20 h 18.
- WP_GMaps2 : me permet d’insérer les petites cartes Google.
- p2pconverter : Utilisé pour la rédaction d’articles. Permet de changer une page en post et vice-versa.
Pour pouvoir utiliser les petites cartes Google, j’ai du, au préalable, me procurer un « Google API Key ». Rien de bien compliqué, mais ces petites cartes en ont besoin pour pouvoir fonctionner. Bien évidemment, Google enregistre mon utilisation de l’API pour ses besoins publicitaires…