Informations pratiques

Voici quelques petites informations qui permettront de mieux comprendre ce qui se passe sur ce site et qui pourrait vous aider à préparer un éventuel voyage.

Monnaie.

La monnaie du Costa Rica est le colon. 1 dollar canadien équivaut à environ 550 colones. Ça nous fait de très gros montants. Pour calculer rapidement, on arrondit le tout à 500 colones pour un dollar. On multiplie le montant en colones par 2 et on enlève trois zéros. Aille, ça parait compliqué? Prenons quelques exemples. 500 colones X2 = 1000 colones. On enlève les trois zéros et ça nous fait 1$. (En réalité, c’est 0,91$, mais c’est juste pour calculer rapidement) Un autre exemple, les guichets automatiques distribuent presqu’exclusivement des billets de 10 000 colones. Ça équivaut à quoi? 10 000 X 2 = 20 000. On enlève 3 zéros. Ça nous donne 20$. Des billets de 20$, rien de plus normal venant d’un guichet automatique, non?

Pour les euros, j’ai pas de trucs, mais votre monnaie vaut tellement cher que c’est comme si tout était gratuit, vous croyez pas?

Communications.

Cabines téléphoniques. Pour faire des appels, des cabines téléphoniques sont disponibles partout, et j’ai bien dit PARTOUT. Vous pouvez insérer une pièce pour faire un appel local ou utiliser une carte d’appel, qui elle, est aussi le meilleur moyen d’appeler à l’étranger.

Cartes d’appel. Disponibles en versions 1 000, 2 000, 5 000 et 10 000 colones, mais seulement les 1 000 et 2 000 sont disponibles un peu partout. Je n’ai trouvé qu’un endroit où on vendait des cartes de 5 000, et j’ai acheté une carte de 10 000 à l’aéroport. Il ne faut pas oublier toutefois que je n’ai jamais fréquenté les lieux touristiques, mais plutôt les endroits du peuple. C’est très possible que des cartes plus chères soient disponibles dans des endroits un peu plus huppés. Une carte de 1 000 colones me permettait d’appeler pour 6,3 minutes au Canada. C’est TRÈS cher.

Cellulaire. Impossible d’acheter des cartes SIM locales. C’est réservé au résidents du Costa Rica. Il y a deux façons d’avoir un cellulaire au Costa Rica. 1. La location, à un prix exhorbitant. 2. Votre propre cellulaire, mais en itinérance. Si c’est avec un service canadien, c’est tout aussi exhorbitant.

Internet. Chaque bourgade a au moins un café internet. Les prix peuvent aller de 500 à 2 000 colones de l’heure dans les endroit où je suis allé. Le plus touristique est évidemment le plus cher. Les ordinateurs et la bande passante sont acceptables dans la majorité des cas.

Transport

J’ai voyagé presqu’exclusivement en voiture, alors je ne peux pas vraiment parler des transports collectifs. J’ai pris le bus une fois entre Carate et La Palma avec une correspondance à Puerto Jimenez. C’était pas cher et très rustique (un segment dans une boîte de camion, et l’autre dans un vieil autobus scolaire).

Les routes principales sont belles, très belles parfois. D’autres ont des nids de poule. En gros, quand les routes sont asphaltées, elles ont la même qualité qu’on verrait au Canada. (Ce qui est horrible lorsqu’on compare à l’Europe). La signalisation est identique à celle de l’Amérique du Nord, sauf qu’elle est en espagnol. Les lignes divisant les voies sont jaune au milieu et blanches pour les côtés. Sur presque toutes les routes, les ponts ont seulement une voie. La priorité est indiquée par un panneau. Si vous n’avez pas la priorité, un panneau indique : « Ceda el paso », ce qui signifie en gros, cédez le passage. Si vous ne voyez pas de panneau, allez-y, mais attention, s’il y a déjà une voiture sur le pont, elle ne reculera pas!!!

Quoique belles, les routes asphaltées ne sont pas éclairées et souvent très sinueuses. Il faut faire très attention, surtout la nuit. Les gens conduisent généralement bien, mais sont très agressifs. Les dépassements dangereux sont chose courante, et après quelques semaines, je le faisais aussi!

Les routes non asphaltées, par contre sont tout-à-fait horribles. La plupart d’entre elles sont recouvertes de grosses pierres, ce qui a pour effet de les faire durer, mais malheureusement, ce n’est pas le cas des autos qui s’y engagent… on peut rouler à 20 km/h, en pouvant pousser parfois jusqu’à 40… jamais plus. Pour se rendre aux endroits intéressants, ces routes sont la norme.

Bouffe

Sauf en de très rares occasions, je ne me suis jamais payé de bouffe de luxe. Dans la presque totalité des cas, j’ai mangé dans des « sodas ». Ces petits restaurants du peuple sont pratiquement partout. La bouffe qu’on y sert est nourrissante, et c’est pas mauvais du tout. C’est presque la même chose partout, avec quelques variations. C’est aussi très bon marché.

En arrivant, on vous donne une carte qui vous énumère les 2 ou 3 repas qu’on peut y manger. Il y a aussi, dans la plupart des cas, une bonne sélection de boissons, et au moins une sorte de bière. Je recommande fortement les milkshakes aux fruits tropicaux frais.

Vous pouvez évidemment aussi vous ramasser quelques trucs dans une station service, une épicerie ou un dépanneur, si vous êtes pressés…

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